Sous l’égide de Hansi Flick, le FC Barcelone a su se réinventer malgré les restrictions imposées par le fair-play financier de la Liga. Avec seulement une recrue phare, Dani Olmo, le technicien allemand a réussi à bâtir une équipe compétitive.
Auparavant, Xavi envisageait des mouvements audacieux pour financer l’arrivée de Bernardo Silva de Manchester City et Martin Zubimendi de la Real Sociedad, envisageant même de sacrifier Ronald Araujo et Robert Lewandowski. Silva, en tant que créateur de jeu, et Zubimendi, en tant que pivot défensif, auraient pu dynamiser l’effectif.
Cependant, Flick a décidé de conserver Araujo, qu’il considère comme un pilier défensif et un leader essentiel. En parallèle, le nouvel entraîneur a misé sur deux pépites de La Masia : Marc Bernal et Marc Casado. Si Bernal a pris de l’importance malgré une grave blessure, Casado s’est rapidement imposé comme un joueur clé dans le système de Flick.
L’un des changements marquants est le repositionnement de Raphinha, qui évolue désormais derrière Lewandowski. Ce nouveau rôle lui a permis de briller, avec six buts et quatre passes décisives depuis le début de la saison. Quant à Dani Olmo, son arrivée de Leipzig est déjà prometteuse, et il devrait revenir après la trêve internationale.
En attaque, Flick, qui connaît bien Lewandowski pour l’avoir dirigé au Bayern, se montre confiant dans ses capacités. Il garde également espoir quant au retour d’Ansu Fati.
Sur le marché des transferts, Flick ne semble pas intéressé par les cibles de Xavi, privilégiant plutôt les talents internes comme Pedri et Lamine Yamal. Pour le milieu défensif, il explore des options telles que Joshua Kimmich ou Angelo Stiller, tout en validant l’idée de recruter Nico Williams si les finances le permettent.
En résumé, Hansi Flick offre une nouvelle vision au FC Barcelone, axée sur la valorisation des talents existants et l’exploration de nouvelles pistes, promettant ainsi de transformer la dynamique de l’équipe.