Ces derniers doivent approuvent ou non l’activation de certains économiques, permettant au club de sortir de la situation financière difficile.
Dans un entretien accordé à Gerard Romero sur Twitch, Eduardo Romeu, le vice-président chargé de l’économie est revenu sur plusieurs question notamment l’AG de demain.
« Je pense que le président et le conseil d’administration ont gagné la confiance pour actionner ces fameux leviers », dit-il
Romeu reste toutefois prudent : « nous ne voulons rien exclure pour le moment. Il faut laisser de côté l’orgueil et agir avec une telle responsabilité. Je n’envisage pas la non-approbation demain » indique-t-il.
Florentino Perez gère son business
Le dirigeant catalan a expliqué le refus de Barcelone de signer l’accord CVC. « Nous n’aimons pas la durée de contrat de CVC (50 ans) et certaines autres conditions. Il ne parle pas explicitement de Superliga, mais il parle d’autres compétitions, ce qui, nous le comprenons, s’y réfère. Cela nous limite dans certains domaines », a expliqué Romeu, qui ajoute « que certaines opérations ne sont pas favorables au Barça. »
Romeu reste confiant sur l’avenir car Barcelone jouit d’une bonne notoriété auprès des partenaires. « La Bank of America et le Barça ont une bonne relation, tout comme avec JP Morgan. Il y a une bonne relation avec Florentino Pérez, il ne nous a pas du tout aidés, il se soucie de son business. »
Par rapport au mercato, Romeu estime que Barcelone d’un mois une fois que les socios donneront un avis favorable pour tout boucler. « Nous allons activer les leviers économiques afin de permettre à Mateu (Alemany) de boucler certaines opérations déjà mises en place » conclut-t-il